« Les Protocoles des Sages de Sion »
Zoom sur les « Protocoles des Sages de Sion »
Bref historique du contexte dans lequel ces écrits furent rédigés.
C’est au milieu du 18ème siècle qu’un certain Mayer Amshel BAUER (
1743 – 1812 ) fit l’acquisition de l’établissement bancaire de son père,
et troqua son nom contre celui de ROTHSCHILD, qui signifie
littéralement « enseigne rouge », en référence à l’enseigne de couleur
rouge de l’établissement bancaire en forme de bouclier qui représentait
le signe des juifs révolutionnaires et vainqueurs dans l’Europe de
l’Est.
Mayer Amshel ROTHSCHILD devait plus tard résumer ainsi sa
vision des choses, intégrée au plan de bataille criminel ourdi contre
l’humanité par ses aînés, les fameux « Sages de Sion » : « Donnez-moi le
contrôle sur la monnaie d’une nation, et je n’aurais pas à me soucier
de ceux qui font les lois ».
Cette simple phrase résume la configuration du monde que nous connaissons aujourd’hui.
C’est
en 1773, année ou Amshel Mayer ROTHSCHILD reçut chez lui, «
Judenstrasse » (rue Juive) à Francfort, douze rabbins juifs, usuriers de
leur état, les « Sages de Sion».
Le but de la rencontre était de
jeter les bases d’une stratégie pour prendre le contrôle de l’ensemble
de la fortune mondiale, et par ce biais devenir les maîtres du monde.
Ainsi
furent rédigés les fameux « protocoles des Sages de Sion », sur la base
d’anciens écrits remaniés par Amschel Mayer ROTHSCHILD.
Ces
protocoles furent tenus secrets jusqu’à ce qu’un certain professeur
russe S.NILUS ne mette la main dessus et ne les publie en 1901, sous le
titre si maladroit « Le danger juif ».
En 1921, Victor MARDSEN les
traduisit en anglais avec un titre plus juste « The Protocols of the
Learned Elders of Zion » (« Les Protocoles des Sages de Sion »).
Avertissement :
Vous devez être informé que quiconque faisant allusion à ces écrits,
se voit taxé de nazisme et d’antisémitisme par l’imposture
politico-judiciaire et sa clique, au prétexte que les « Sages de Sion »
se prétendaient juifs, et même incarner l’élite messaïque du Peuple
Juif, lequel fort heureusement ne les reconnaît pas comme telle.
Ce
procès d’intention si largement et systématiquement utilisé constitue en
fait l’apanage des imposteurs à la solde des criminels internationaux
de l’industrie et de la haute finance, dont les prédécesseurs
organisèrent entre-autres la deuxième guerre mondiale et surtout le
massacre du Peuple Juif, après avoir financé HITLER et l’avoir incité à
prendre en grippe les juifs par la lecture de ces fameux protocoles.
Derrière
ce massacre du Peuple Juif et l’exode qui s’en suivit, la nécessité
pour les maîtres-ignobles de créer un foyer de tension permanente au
Moyen-Orient au prétexte de la création de l’Etat d’ISRAËL constitue une
des odieuses réalités que nous ne pouvons dénoncer, sous peine de voir
s’abattre sur nous les foudres de l’imposture politico-judiciaire et son
terrorisme d’Etat.
C’est également pour cette même raison que les
vérités concernant la deuxième guerre mondiale et cet épisode
épouvantable sont impossibles à traiter ou même à aborder, sous peine de
prison, à travers les accusations de « révisionnisme » ou encore de «
négationnisme » avec toujours comme procès d’intention l’antisémitisme.
Ceci dit, je vous livre ici une sélection de12 des 24 « protocoles des Sages de Sion », version française.
1. Le contrôle de l’argent
(…) « Le contrôle des nations sera assuré par la création de
gigantesques monopoles privés qui seront les dépositaires d’immenses
richesses dont dépendront même les Gojim (les non juifs). C’est ainsi
que le jour qui suivra, l’effondrement politique verra leur
anéantissement en même temps que celui du crédit accordé aux Etats. (…)
(…)
Des crises économiques porteront atteinte aux Etats ennemis en leur
soustrayant l’argent mis en circulation. En accumulant de grands
capitaux privés qui seront ainsi soustraits à l’Etat, ce dernier va être
obligé de s’adresser à nous pour emprunter ces mêmes capitaux. Ces
emprunts consentis avec des intérêts seront une charge pour les Etats
qui en deviendront les esclaves, sans volonté propre. Ils s’adresseront à
nos banquiers pour leur demander l’aumône au lieu d’exiger des impôts
du peuple. Des emprunts étrangers sont comme des sangsues, il n’y aucune
possibilité de les éloigner du corps d’Etat, car elles ne peuvent que
se détacher d’elles-mêmes ou être rejetées par l’Etat. Cependant les
Etats Gojim ne les rejetteront pas, ils s’en attireront sans cesse
d’autres, ce qui les conduira à une fin inexorable.
Les dettes de l’Etat rendront les hommes d’Etat corruptibles, ce qui les mettra encore plus à notre merci.(…) »
2. Le contrôle de la presse
(…) « Nous procéderons de la façon suivante avec la presse :
Son rôle est d’exciter et d’enflammer les passions chez le peuple (…) et le public est
tellement loin de pouvoir imaginer qui est le premier bénéficiaire de la presse
(…)
Parmi tous les journaux, il y en aura aussi qui nous attaqueront mais
comme nous sommes les fondateurs de ces journaux, leurs attaques
porteront exclusivement sur des points que nous leur auront précisé
auparavant. (…)
(…) Aucune nouvelle ne sera publiée sans avoir reçu
notre accord. C’est déjà le cas maintenant, car toutes les nouvelles du
monde sont regroupées dans seulement quelques agences. Ces agences étant
sous notre contrôle, elles ne publient que ce que nous avons approuvé.
(…)
(…) Nos journaux seront de toutes les tendances, aristocratique,
socialiste, républicaine, voir même anarchiste, tant qu’existera la
Constitution. (…)
(…) Ces idiots qui croiront que le texte d’un
journal reflète leur propre opinion n’auront fait, en réalité, que
répéter notre opinion ou celle que nous souhaitons voir exprimée. » (…)
3. L’extension du pouvoir
(…) « Nous serons pour le public l’ami de tous. (…)
(…) Nous les
soutiendrons tous, les anarchistes, les communistes, les fascistes(…) et
particulièrement les ouvriers. Nous gagnerons leur confiance et ils
deviendront ainsi, pour nous, un instrument très approprié. (…)
4. Le contrôle de la foi
(…) « Nous ôterons aux hommes leur vraie foi. Nous modifierons ou
supprimerons les principes des lois spirituelles. (…) L’absence de ces
lois affaiblira la foi des hommes puisque les religions ne seront plus
capables de donner quelconque explication. (…)
(…) Nous comblerons ces lacunes en introduisant une pensée matérialiste et des supputations mathématiques. (…) »
5. Le moyen d’amener la confusion dans les esprits
(…) « Pour avoir la mainmise sur l’opinion publique, il nous faut les amener à un certain niveau de confusion. (…)
(…)
La presse nous sera un bon outil pour offrir aux hommes tant d’opinions
différentes qu’ils en perdront toute vue globale et s’égareront dans le
labyrinthe des informations. (…)
(…) ainsi ils en viendront à la conclusion que le mieux est de ne pas avoir d’opinion
politique. (…) »
6. L’aspiration au luxe
(…) « Pour accélérer la ruine de l’industrie des Gojim, nous
susciterons chez eux une soif de luxe. Le commun des mortels n’en aura,
cependant, pas la jouissance, car nous ferons en sorte que les prix
soient toujours en hausse.
Ainsi, les travailleurs devront autant travailler qu’auparavant pour satisfaire leurs désirs. (…)
(…) Ils seront piégés dans le système avant d’avoir pu l’identifier. »
7. La politique utilisée comme instrument
(…) « En distillant un souffle de libéralisme dans les organismes d’Etat, nous modifierons tout leur aspect politique. (…)
(…)
Une Constitution n’est rien qu’une grande école de discordes, de
malentendus, de querelles, en un mot une école de tout ce qui sert à
fausser les rouages de l’Etat. (…)
(…) A « l’époque des républiques
», nous remplacerons les dirigeants par une caricature de gouvernement
avec un président élu par nos marionnettes, nos esclaves que sont le
peuple. (…)
(…)
Les élections seront, pour nous, un moyen d’accéder au trône du monde
tout en faisant croire au modeste citoyen qu’il contribue à façonner
l’Etat par sa participation à des réunions et par son adhésion à des
associations. (…)
(…) Dans le même temps, nous réduiront à néant
l’impact de la famille et son pouvoir éducatif. Nous empêcherons aussi
l’émergence de personnalités indépendantes. (…)
(…) Il suffit de
laisser un peuple se gouverner lui-même un certain temps (la démocratie)
pour qu’il se transforme en une populace ou règne le chaos.
(…) La
puissance de la populace est une force aveugle, absurde, irraisonnée,
ballottée sans cesse de droite ou de gauche. Mais un aveugle ne peut pas
en conduire un autre sans tomber dans le précipice. Seul celui qui, dès
sa naissance est éduqué pour devenir un souverain indépendant détient
la compréhension de la politique. (…)
(…) Notre succès, en traitant
avec les hommes dont nous avons besoin, sera facilité par notre façon de
toucher toujours le côté le plus sensible de la nature humaine, c’est à
dire la cupidité, la passion et la soif insatiable de biens humains et
matériels. » (…)
8. Le contrôle de la nourriture
(…) « Notre puissance réside aussi dans la pénurie permanente de
nourriture. Le droit du capital, en affamant les travailleurs, permet
sur eux une mainmise plus sûre que ne pouvait le faire la noblesse avec
son roi. (…)
(…) Nous agirons sur les masses par le manque, l’envie et la haine qui en résultent. (…)
(…) mais tout propriétaire rural peut être un danger pour nous puisqu’il peut vivre en autarcie. C’est la raison pour laquelle il nous faut à tout prix le priver de ses terres. Le moyen le plus sûr pour y arriver est d’augmenter les charges foncières, (…) d’accabler de dettes les propriétés rurales. (…) »
9. Le rôle de la guerre
(…) « Nous mettrons en rivalité toutes les forces pour amener ceux
qui ont soif de pouvoir à abuser de leur pouvoir. Il nous faut fomenter
des dissensions, des inimitiés dans toute l’Europe et par
l’intermédiaire de l’Europe dans d’autres parties de la Terre. (…)
(…)
Il faut que nous soyons capables d’anéantir toute opposition en
provoquant des guerres avec les pays voisins. Au cas où ces voisins
oseraient nous tenir tête, il faut leur répondre par une guerre
mondiale. (…) »
10. Le contrôle au moyen de l’éducation
(…) « On n’incitera pas les Gojim à tirer une application pratique de
leur observation impartiale de l’Histoire mais on les invitera à des
réflexions théoriques, sans faire de relations critiques avec les
évènements qui vont suivre. (…)
(…) Dans ce jeu, sachez que la chose principale est de les avoir convaincus d’accepter les nécessités de la science. (…)
(…)
Tenant compte de ce fait, nous n’aurons de cesse de créer une confiance
aveugle en ces théories (scientifiques) et les journaux nous y aideront
bien. Les intellectuels parmi les Gojim se vanteront de leurs
connaissances. (…)
(…) Le peuple perdra, de plus en plus, l’habitude de penser par lui-même et de se forger
sa propre opinion, il en viendra à prononcer les mots que nous désirons entendre prononcer. (…) »
11. Le contrôle des loges franc-maçonniques
(…) « Nous créerons dans tous les pays de la
Terre des loges franc-maçonniques, nous les multiplierons et y
attirerons les personnalités qui sortent des rangs. (…)
(…) Nous
mettrons toutes ces loges sous la domination de notre administration
centrale que nous seront seuls à connaître et que les autres ignoreront
complètement.
(…) Qui ou qu’est ce qui peut vaincre une puissance
invisible ? Voilà où se situe notre pouvoir. La franc-maçonnerie non
juive nous sert de couverture à leur insu. Mais le plan d’action de
notre puissance reste pour tout le peuple et même pour le reste de la
confrérie un secret. (…) »
12. La mort
(…) « La mort est la fin inévitable pour tous, par conséquent, il est préférable d’y conduire tous ceux qui nous font obstacle. »
A méditer…
Trois ans avant cette réunion entre et les Sages de Sion et ROTHSCHILD, en 1770 donc, celui-ci était rentré en contacte avec un certain jésuite du nom d’Adam WEISHAUPT, converti au gnosticisme par le philosophe juif MENDELSON. La phrase la plus célèbre est sans doute celle-ci ; « Il nous faut tout détruire, avec cette seule pensée, le plus possible, et le plus rapidement possible ».